[Je recommanderai]"l'université pour la qualité de l'enseignement. Les domaines dans le spatial sont vastes : Hyperfréquences, électromagnétisme, électroniques, essais (thermique, vibration, acoustique).... Tous sont étudiés à l'UT3. Cette dernière forme parfaitement au métier de technicien (méthode de travail, l'approche dans les tests à mener...), et met aussi un pied dans la formation d'ingénieur avec les notions étudiées."
J'ai fait un DUT Mesures Physiques en année spéciale, promo 2015-2016, et licence professionnelle Instrumentation et Tests en Environnements Complexes (ITEC), promo 2016-2017.
Je suis actuellement technicienne de tests en hyperfréquence dans le service Antennes de Thales Alenia Space.
J'ai toujours été intéressée par l'aéronautique et l'aérospatial , d'où ma venue à Toulouse. J'ai découvert les hyperfréquences en licence professionnelle, domaine qui m'a plu, et que j'ai voulu approfondir. Le spatial se prêtait donc parfaitement à mes attentes. En 2017, j’ai postulé à différents postes au sein du site toulousain de Thales Alenia Space. J’ai finalement été embauchée aux moyens de tests Antennes. Je fais la mesure de performances électromagnétiques d'antennes dans les chambres anéchoïques en méthode champ proche. Je teste des antennes entre 1 et 53GHz.
Après mon bac S, j'ai fait 2 ans de classes préparatoires aux grandes écoles, PCSI/PC. Je n'ai pas obtenu les concours souhaités, et la méthode d'apprentissage ne me convenait pas. J'ai donc choisi la formation DUT Mesures Physiques en Année Spéciale, qui a répondu à mes attentes, à savoir allier la théorie à la pratique. Les TPs permettaient d'appliquer les notions vues en cours dans des cas concrets. La licence professionnelle ITEC, selon moi, était la parfaite continuité pour terminer mes études.
J'ai fait ces 2 formations en parcours initial. La pédagogie des professeurs était un réel atout pour réussir cette formation [mention spéciale à A. HUI BON HOA qui m'a fait adorer la programmation informatique], ils prenaient le temps d'expliquer pour que toutes les notions soient acquises. Le fait qu'il y ait des intervenants d'entreprises extérieures était un vrai plus, toujours dans cette optique d'avoir du concret.
Je recommanderai l'université Toulouse III - Paul Sabatier pour la qualité de l'enseignement.
Les domaines dans le spatial sont vastes : Hyperfréquences, électromagnétisme, électroniques, essais (thermique, vibration, acoustique).... Tous sont étudiés à l'UT3. Cette dernière forme parfaitement au métier de technicien (méthode de travail, l'approche dans les tests à mener...), et met aussi un pied dans la formation d'ingénieur avec les notions étudiées.
À la rentrée 2024, je reprends mes études à Toulouse INP ENSEEIHT pour devenir ingénieure, cette formation est poussée et soutenue par mon entreprise.
Mes formations à l'UT3, m'ont donc permis d'accéder à ce métier qui me plait, d'avoir des compétences et connaissances nécessaires à la reprise d'études 7 ans après mon embauche.
Camille en chambre anéchoïque où est réalisée la mesure de performances électromagnétiques d'une antenne en champ proche
chez Thales Alenia Space Photo Thales Alenia Space_Laurent Barranco