Le programme de mon master s'est avéré être une immersion totale dans ce monde fascinant. Les cours et les travaux pratiques ont été des fenêtres ouvertes sur le fonctionnement des objets célestes, des fusées aux satellites. L'université m'a permis d'allier formation théorique solide et immersion dans la pratique, offrant des perspectives à la fois dans l'industrie et la recherche.
Aujourd'hui, je suis ingénieur dans le secteur aérospatial à Toulouse et diplômé d'un master en technique spatiale et instrumentation. Comment en suis-je arrivé là ?
Tout a commencé avec deux années passées en CUPGE, une classe préparatoire universitaire dispensée par l'université Toulouse III - Paul Sabatier. À la suite de cela, j'ai intégré la troisième année de licence de physique, une transition fluide qui m'a permis de me spécialiser davantage.
Optant ensuite pour un master axé sur le spatial, j'ai plongé dans un univers captivant, explorant tout ce que ce domaine offre, particulièrement à Toulouse, hub majeur de l'industrie spatiale.
Choisir sa voie dans un domaine aussi vaste que l'aérospatial peut s'avérer ardu. Pendant mes études, j’ai avancé pas à pas, découvrant progressivement mes affinités et aspirations. L'attrait pour l'espace est indéniable, nourri par les missions extraordinaires menées par la NASA et autres agences spatiales, qui marquent l'histoire. Je rêvais moi aussi contribuer à ces avancées, explorer de nouveaux horizons, envoyer des hommes sur la Lune.
Le programme de mon master s'est avéré être une immersion totale dans ce monde fascinant. Les cours et les travaux pratiques ont été des fenêtres ouvertes sur le fonctionnement des objets célestes, des fusées aux satellites. L'université m'a permis d'allier formation théorique solide et immersion dans la pratique, offrant des perspectives à la fois dans l'industrie et la recherche.
Ma dernière année en alternance au CESBIO a été déterminante. Ce laboratoire m'a offert une expérience enrichissante, équivalent d’un stage prolongé et me permettant de m'immerger davantage dans la recherche spatiale. Cette expérience a été un pont entre la théorie et la réalité du terrain, m'aidant à affiner mes préférences entre recherche et industrie.
À la fin de mes études, j'ai rapidement trouvé un poste chez Alten, où je souhaitais tester différentes missions et espérais explorer diverses facettes du métier et de préciser mes aspirations professionnelles. Finalement, j’ai rapidement rejoint SII pour une mission dans le domaine aéronautique, qui, bien que différente, reste connectée à mon intérêt pour le spatial et me permettra de rejoindre une nouvelle mission dès que l’opportunité se présentera.
Le domaine spatial peut parfois être exigeant, avec des périodes de recherche de poste plus complexes, mais ses opportunités infinies valent largement le détour. Chaque défi est une occasion de rêver plus grand et de contribuer à l'exploration de l’inconnu.