Un peu de lecture
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- "Sport et Santé", entre évidence et complexité
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« Les sections de pédagogie, d’hygiène et de médecine ont voté une résolution condamnant le sport scolaire » versus « Le sport est bon pour la santé : c’est prouvé ! ».
Entre ces deux informations plus d’un siècle d’histoire, de pratiques, de réflexions, et de recherches. La première a été annoncée dans la Gazette des Hôpitaux de Toulouse en 1894, la deuxième est le titre d’un article publié dans le Journal du CNRS en 2023. Si le lien sport-santé semble désormais indéfectible et incontestable, les deux termes ont parfois paru antinomiques. Pour comprendre et expliquer cette relation, il faut retracer le cheminement de l’enseignement et de la recherche dans ce domaine depuis la fin du XIXe siècle. Et à Toulouse, cette aventure a été marquée par des personnalités, voire des personnages qui ont contribué à écrire l’histoire de l’Université et du Sport. Une histoire en 3 temps et 4 épisodes.- Épisode #1 : Le sport remplace la gymnastique
- Épisode #2 : Le temps des mesures
- Épisode #3 : Recherche de pointe
- Épisode #4 : Formation au haut niveau
En partenariat avec le service de la Connaissance et l'Inventaire de la Région Occitanie : Le sport est bon pour la santé
- Les lichens, la biodiversité à l’œuvre
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Le Service des Collections de l’Université Toulouse III-Paul Sabatier a entrepris un chantier d’envergure : le projet NIEHL, pour la Numérisation, l’Informatisation et l’Etude des Herbiers de Lichens. Ce travail a été retenu dans le cadre de l’Appel à Projets du Ministère de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation en 2022, et réalisé en 2023.
Les herbiers toulousains (ainsi que des planches d’Herbiers des collections de Rennes et de Strasbourg) numérisés et informatisés, permettent désormais de constituer une base de données représentative de la biodiversité lichénique en France (et même au-delà) il y a un peu plus d’un siècle. La numérisation s’accompagne d’une révision, et elle est aussi l’occasion de mettre en lumière des collections rarement montrées et pourtant précieuses historiquement, scientifiquement, et culturellement. L’occasion de faire le point en 5 épisodes. - Henri Bouasse : "Physique Maestro!"
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Découvrez les multiples facettes d'Henri Bouasse, professeur de physique du début du XXe siècle à la Faculté des Sciences de Toulouse.
Son orgue d’acousticien a été restauré et réinstallé récemment. - Dans le secret des Collections
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Découvrez les "petites mains" qui font l'histoire des collections scientifiques et patrimoniales de l'Université Toulouse III - Paul Sabatier
L'Université Toulouse III - Paul Sabatier conserve plus de 430 000 planches d'herbiers dans ses collections. Ces herbiers ont été constitués aux XIXe et XXe siècles, le plus ancien datant de 1811, et le plus récent des années 2020. Une collection important en taille, mais pas seulement. - Picot de Lapeyrouse : une collection minéralogique et des cartes à jouer
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Philippe Picot de Lapeyrouse, grand naturaliste toulousain de la fin du XVIIIe a collecté tout au long de sa vie une collection minéralogique axée en grande partie sur son terrain de recherche : les Pyrénées. Il organise ses minéraux selon la classification de Werner, leur attribut à chacun un numéro, et leur adjoint une carte d'identification donnant leurs nom, leur lieu de découverte et une rapide description. L'originalité se situe dans le choix de ces cartes d'identification : des cartes à jouer !
A sa mort, sa collection arrive dans le giron de la Faculté des Sciences de Toulouse.
- Autour des plantes du Jardin Botanique Henri Gaussen
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Du mil, des femmes, et de la bière !
Dans toute l’Afrique, on transforme le mil, le sorgho, l’éleusine, le teff ou le fonio en bière. Les femmes, car le brassage de la bière de mil est une affaire de femmes, brassent la bière pour toutes les occasions : consommation domestique ou rituelle, pour les fêtes de village, mais aussi pour la vente directement. Lieu emblématique de la vente de bière de mil, le cabaret prend plusieurs formes. En ville, il représente un espace d’exercice de la démocratie et il se fait symbole de cette économie exclusivement féminine.
Article rédigé dans le cadre de l'exposition "En plein dans le mil" au Jardin Botanique Henri Gaussen.Histoire de Flore
Découvrez les histoires mythiques des plantes du Jardin Botanique Henri Gaussen.
- Épisode #1 : On ne laisse pas le cognassier dans un coing
- Épisode #2 : La Nepenthes, une origine mythologique ?
- Épisode #3 : Laitue, y est-tu?
- Épisode #4 : Le Laurier
- Épisode #5 : Le côté obscure de la grenade
Couleurs de la nature : les plantes tinctoriales
Partons pour un petit tour chez les plantes tinctoriales de la Spirale ethnobotanique du Jardin Botanique Henri GaussenLe Jardin Botanique Henri Gaussen, jardin universitaire de Toulouse
Petit découverte du Jardin Botanique Henri Gaussen de l'Université Toulouse III - Paul Sabatier
- Les portraits de la faculté de Médecine
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Sortis de l’ombre
Longtemps ils sont restés mystérieux, ils se sont dérobés, ont résisté aux tentatives d’élucidation. Ils étaient quatre, anonymes. Et nos « inconnus » ont rendu les armes chacun son tour, en moins de six mois. C’est l’histoire d’une enquête qui a demandé patience, minutie et … créativité, quelquefois.
Professeur Charles Gerber : au tableau !
La Faculté de Santé a enrichi sa collection de portraits anciens. Découvrez l'histoire de Charles Gerber, qui à travers son portrait, réintègre le 37 des Allées Jules Guesde, où il a officié comme professeur de médecine puis de botanique entre 1919 et 1928.
- L'expédition du Caudan
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Plongez dans les profondeurs du golfe de Gascogne et suivez l'itinéraire qu'un bateau nommé Le Caudan a emprunté en 1895 avec à son bord, Louis Roule, professeur de Zoologie à la Faculté des Sciences de Toulouse.
En partenariat avec le service de la Connaissance et l'Inventaire de la Région Occitanie : L'expédition du Caudan - La Collection Auzoux
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La collection Auzoux de l'Université Toulouse III-Paul SabatierL'Université Toulouse III-Paul Sabatier conserve au sein de ses collections patrimoniales quelques pièces rares et atypiques, parfois uniques, d'anatomie clastique issues des manufactures Auzoux. Que sont ces maquettes ? D'où viennent-elles ? À quoi rêvent-elles ?
Les modèles anatomiques du Dr. Auzoux passés au crible !
Le jeudi 27 avril 2017, l’équipe des collections de zoologie de l’Université Toulouse III-Paul Sabatier (UT3-PS) s’est rendue avec le dindon du Dr. Auzoux à l’École Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT) pour un drôle de rendez-vous. Il s’agissait de le radiographier ainsi qu'une maquette de tête de vipère appartenant à l’ENVT.
En librairie
La collection "Fragments de Science"
Produits de l’Histoire, ces fragments de science sont à la fois des morceaux de patrimoine et du patrimoine en morceaux. Ils nous relient et nous attachent : ils sont des traces matérielles qui font racines, disent une continuité, montrent des connexions, provoquent des ruptures, aussi… Ils construisent la mémoire collective, et finalement contribuent à définir notre identité. Ils sont autant d’indices qui mis bout à bout permettent de déchiffrer et de recomposer l’aventure scientifique.
Picot de Lapeyrouse : voyage au cœur des pierres
De la série de manganèses du Rancié au quartz du Saint-Gothard, de la labradorite de l’île de Saint Paul au grès de Fontainebleau, pendant 55 ans, Philippe Picot de Lapeyrouse a constitué une collection de minéralogie importante, scientifiquement et historiquement. Ce naturaliste toulousain a travaillé toute sa vie à écrire l’Histoire naturelle des Pyrénées, et la tâche étant trop grande pour un seul homme, il a mis en place tout un système, et il est devenu un homme de réseaux : savants, collecteurs, informateurs, etc. Mais on ne fait pas œuvre scientifique de cette ampleur sans attirer quelques animosités : le Mont-Perdu sera le berceau et le cadre d’une de ces rivalités nourries pendant des années. Le scientifique n’est pas un homme hors-sol : Lapeyrouse a été bien plus qu’un naturaliste. Cette collection permet, pierre après pierre, de découvrir les coulisses de l’histoire.