Avant de s’implanter à plus large échelle, les mammifères exotiques introduits dans un nouveau territoire doivent au préalable s’établir dans des climats similaires à ceux de leur région native. Une équipe internationale impliquant des scientifiques des universités de Lausanne et de Fribourg (Suisse), de l’université de Reading (Royaume-Uni), de l’université libre de Berlin (Allemagne) et du laboratoire Évolution et diversité biologique (EDB - CNRS, UT3 - Paul Sabatier, IRD), a développé un nouvel outil permettant de confirmer cette théorie et d’anticiper les risques d’invasions par les espèces exotiques. Cette étude est parue dans la revue Nature Communications. (...)