17 doctorantes et doctorants, dont neuf de l'Université de Toulouse, auront trois minutes chrono pour faire découvrir leur sujet de recherche au jury lors de la finale régionale, co-organisée par la communauté d'universités et d'établissements de Toulouse et la délégation CNRS Occitanie Ouest.
Le concours de vulgarisation scientifique « Ma thèse en 180 secondes » lance un défi aux doctorants : expliquer leur sujet de recherche en français à l’attention du grand public, de la façon la plus simple possible, en seulement trois minutes chrono !
La finale régionale au Théâtre Sorano
Venez soutenir nos doctorantes et doctorants, le lundi 24 mars à 18h30 au Théâtre Sorano.
C'est un challenge personnel pour les jeunes chercheurs et chercheuses, mais ce défi d’éloquence représente aussi une belle occasion d’évoquer ce qu’est une thèse, de donner envie de comprendre les travaux scientifiques en cours sur notre territoire qui aideront, directement ou indirectement, à relever les défis sociétaux d’aujourd’hui et de demain.
MT180 permet de rendre les sciences accessibles et permet aussi aux doctorants de les valoriser en développant leurs compétences communicationnelles pour expliquer un sujet complexe le plus simplement possible. L’exercice leur permet d’acquérir une aisance à transmettre et valoriser leurs compétences et assure une meilleure visibilité à leurs recherches qui profitera à la poursuite de leur carrière, dans le monde académique ou en entreprise.
Parmi les 17 sélectionnés, neuf sont doctorants à l'Université de Toulouse :
Marie Andrieux, du Laboratoire d’Études en Géophysique et Océanographie Spatiales (LEGOS - CNRS, IRD, CNES, UT)
Fortunato Iachino, du Laboratoire de Génie Chimique (LGC - CNRS, Toulouse INP, UT)
Quentin Legois, du Centre de Recherche Cerveau et Cognition (CerCO - CNRS, UT)
Yann Lemaire, du Centre de Recherche Cerveau et Cognition (CerCO - CNRS, UT)
Stéphanie Long, du Biochimie et Toxicologie des Substances Bioactives (BTSB - INU, UT)
Charles Montel, de Toulouse Neuro Imaging Center (ToNIC - Inserm, UT)
Maxime Rousselet, de Géosciences Environnement (GET - CNRS, IRD, CNES, UT)
Onaïa Savary, du Centre National de Recherches Météorologiques (CNRM - Météo France, UT)
Magdalena Szczuka, du Laboratoire de Microbiologie et Génétique Moléculaires (LMGM - CNRS, UT)